Le contexte
Une DRH d’un groupe international (secteur agroalimentaire) reprend contact avec Yann Durand, head of management transition chez Fed Transition presque par hasard. À l’origine, l’échange portait sur un autre sujet - mais la discussion révèle un vrai point de tension : le recrutement d'un poste de Directeur des opérations sur un site en Bretagne, ouvert depuis un an.
Le problème n’est pas le niveau d’enjeu - il est clair - c’est le marché. Vivier local limité, contraintes métier non négociables, plusieurs cabinets déjà sollicités, et une fatigue évidente côté client après des mois de recherche infructueuse. Le poste reste pourtant clé pour stabiliser l’activité et remettre de la traction opérationnelle… avec une fibre commerciale indispensable pour embarquer les équipes et sécuriser la performance.
La mission confiée à Fed Transition
Fed Transition reçoit un brief simple dans la forme, exigeant sur le fond - identifier rapidement un profil capable de prendre le rôle de General Manager pour une BU, avec un ADN opérations + développement, et idéalement une connaissance du secteur.
Dès le départ, le cadrage est transparent - vu le contexte et le niveau de complexité, la réponse ne peut être qu’ultra ciblée, avec un process court, des interlocuteurs multiples (dont deux basés aux Pays-Bas) et une disponibilité de décision parfois contrainte par les agendas.
L’option retenue est donc celle du management de transition - pour sécuriser vite un leadership opérationnel, sans attendre le timing d’un recrutement classique.
Ce qui a fait la différence
Quelques jours auparavant, Fed Transition avait rencontré un profil rare qui cochait toutes les cases sans forcer le trait :
- Expérience dans le secteur agroalimentaire
- Niveau DG - direction de BU, avec une vraie lecture business
- Mobilité réelle pour une mission en Bretagne
- Capacité à évoluer en environnement international - anglais fluide
Résultat - au lieu de “relancer le marché”, Fed Transition active le bon profil, au bon moment.
Les 4 sessions d’entretien sont organisées rapidement, en français et en anglais, avec une logique de validation progressive - chaque échange positif déclenche le suivant. L’accord se conclut dans la foulée - et la mission démarre immédiatement.
Un appel - un profil - le bon.
En résumé
Quand un poste reste ouvert un an sur une zone à vivier restreint, le sujet n’est plus “trouver quelqu’un” - c’est remettre le business sous contrôle vite, sans dégrader l’exigence.
Fed Transition a transformé une recherche épuisante en process simple - ciblage précis, décision accélérée, coordination internationale, et une manager de transition opérationnelle dès le démarrage. Le client est “sorti d’affaire” - la mission est lancée dans de bonnes conditions.
Résultats
- Délai entre le brief et la signature : 15 jours
- Nombre de CV envoyés : 1 (profil ultra ciblé)
- Nombre d’entretiens finalistes : 1 finaliste - 4 entretiens (FR et EN, 4 interlocuteurs)
- Valeur ajoutée Fed Transition : activation d’un vivier qualifié, compréhension des enjeux BU, pilotage d’un process multi-interlocuteurs, sécurisation d’un démarrage rapide en management de transition.
FAQ - management de transition
1. Le management de transition, c’est quoi exactement ?
C’est l’intervention d’un dirigeant opérationnel externe (manager de transition) pour piloter une mission stratégique sur une durée limitée - généralement pour stabiliser, transformer ou remplacer rapidement un poste clé.
2. Dans quels cas faire appel à un manager de transition ?
Quand l’entreprise doit aller vite ou sécuriser un sujet critique - vacance de poste, retournement de performance, transformation (organisation, SI, supply, finance), gestion de crise, projet de croissance, intégration post-acquisition, ou lancement d’un nouveau site/BU.
3. Combien de temps dure une mission de management de transition ?
Souvent entre 3 et 9 mois, parfois plus (12 mois) selon le contexte. L’idée est d’aller à l’essentiel - diagnostic rapide, plan d’action, exécution, transmission.
4. Combien coûte un manager de transition ?
La plupart du temps, la facturation se fait au forfait journalier (TJM), qui dépend du niveau de seniorité, de la rareté du profil, du secteur et de l’urgence. Le coût se raisonne surtout en ROI (délai gagné, risques évités, performance sécurisée).
5. Comment se déroule le processus de sélection ?
Brief cadré (enjeux, périmètre, KPIs, gouvernance), identification de profils, short list, entretiens (souvent 1 à 3 tours), puis contractualisation et démarrage rapide. Un cabinet spécialisé accélère la sélection et sécurise l’adéquation.
6. Quelles compétences font un bon manager de transition ?
Le sens du résultat, la capacité à poser un diagnostic vite, le leadership en contexte tendu, l’aisance politique (multi-interlocuteurs), la pédagogie, et l’humilité d’embarquer sans “tout casser”. Bonus - une forte capacité de transmission.
7. Comment mesurer la réussite d’une mission ?
Avec des indicateurs concrets - continuité d’activité, délais tenus, gains de performance, stabilisation d’équipe, réduction de risques, jalons projet atteints, qualité de passation. Idéalement, les KPIs sont définis dès le brief.
8. Le manager de transition peut-il être recruté ensuite en CDI ?
Oui, c’est possible (logique “try and hire”), mais ce n’est pas l’objectif premier. Si l’entreprise et le manager le souhaitent, la mission peut déboucher sur une intégration, à condition d’aligner le cadre et les attentes.
9. Pourquoi passer par un cabinet spécialisé en management de transition ?
Pour gagner du temps et réduire le risque - accès à un vivier qualifié, validation des références, matching sur les enjeux, pilotage du process, sécurisation du démarrage, et suivi pendant la mission (points réguliers, ajustements).
Yann Durand, head of Transition Management chez Fed Transition.Son profil LinkedIn est accessible ici.
Yann Durand, head of Transition Management chez Fed Transition.
Son profil LinkedIn est accessible ici.
