Nos consultants balancent leurs anecdotes !
Et vous, avez-vous déjà checké un recruteur ?
Si pour vous, cela peut paraitre impensable, ça n'a pas été le cas pour l'un de nos candidats !
On termine notre mini-série vidéo 𝒔𝒑𝒆́𝒄𝒊𝒂𝒍𝒆 𝒄𝒐𝒎𝒎𝒆𝒓𝒄𝒊𝒂𝒖𝒙 avec les anecdotes croustillantes de nos consultants.
Victor Gacon, Raphael Martins, Théo Galdeano et Alexis Harant balancent leurs meilleures anecdotes qu'ils ont pu vivre en entretien !
Et on peut vous dire qu'il s'en passe des choses !
Pour les découvrir, c'est juste en-dessous.
Principaux enseignements
- L’apparence professionnelle compte énormément en entretien, en particulier pour les postes commerciaux.
- De petits faux pas comportementaux peuvent laisser une forte impression et impacter la décision de recrutement.
- Les candidats doivent rester professionnels tout au long du processus, même une fois l’entretien formel terminé.
- La conscience de son environnement est essentielle, il faut vérifier précisément le lieu et le contexte de l’entretien en amont.
- La première impression ne passe pas seulement par l’échange verbal, mais aussi par la tenue vestimentaire et les codes de salutation.
- Ce qui semble naturel ou confortable pour un candidat n’est pas toujours aligné avec les attentes des employeurs dans un contexte professionnel.
L'anecdote de Théo Galdeano
Théo Galdano raconte une expérience de recrutement pour un poste de commercial. Après avoir repéré un CV prometteur et mené un bon échange de préqualification, il organise une rencontre en présentiel. Le candidat se présente alors à l’entretien en débardeur.
Tout en reconnaissant la liberté de chacun en matière de style, Théo rappelle que certains contextes professionnels imposent un minimum de codes vestimentaires. Cette anecdote illustre à quel point la première impression, via l’apparence, peut peser sur les opportunités professionnelles, surtout sur des postes en contact client.
L'anecdote d'Alexis Harant
Alexis Harant se souvient d’un moment de salutations un peu raté lors d’un entretien dans les locaux de Fed. En rencontrant un candidat pour un poste commercial, ce dernier lui tend la main pour un high five plutôt qu'une poignée de main classique. Les deux comprennent immédiatement le décalage de ce geste dans ce contexte.
Ce qui rend l’anecdote intéressante, c’est la façon dont ils gèrent cette maladresse. Au lieu de laisser s’installer un malaise, ils dédramatisent et en rient. Cela montre que la capacité à rattraper une bourde sociale peut parfois créer un moment authentique dans un cadre normalement très formel.
L'anecdote de Raphaël Martins
Raphaël Martins partage un quiproquo amusant avec une candidate pour un poste de commerciale dans le secteur de la construction. Cette dernière avait un entretien prévu dans les locaux de Fed, mais a complètement mal interprété le contexte car elle a demandé Raphaël à l’accueil… du chantier voisin.
il se trouvait qu'une personne du même prénom se trouvait sur ce chantier car on lui a prêté des EPI (équipements de protection individuelle) pour se rendre sur le chantier. Pendant ce temps, lui la cherchait dans l’immeuble de bureaux. Cette confusion illustre comment certaines suppositions, même « logiques », peuvent entraîner de vrais malentendus.
L'anecdote de Victor
Victor Gacon raconte une histoire qui sert d’avertissement. Un candidat commercial avait brillamment passé toutes les étapes du process, jusqu’aux entretiens finaux avec le directeur commercial et la RH chez le client. Mais ce qui s’est passé après les échanges formels a tout fait basculer.
En sortant, voulant être plus à l’aise pour le trajet de retour, le candidat décide de se changer et d’enlever son costume… directement dans la rue, devant les vitres teintées du bâtiment, sans savoir qu’on peut le voir de l’intérieur. Les équipes RH et opérationnelles assistent à la scène. Ce manque de recul sur le contexte finira par lui coûter la proposition d’embauche.
Pour aller plus loin : Le conseil qui fait vraiment la différence en entretien pour un commercial
FAQ
1. Comment un commercial doit-il s’habiller pour un entretien d’embauche ?
L’idée n’est pas forcément le costume trois-pièces, mais une tenue nette, professionnelle et adaptée au niveau de responsabilité du poste et au secteur (chemise / blouse propre, pantalon ou jean foncé, chaussures soignées). On évite débardeur, jogging, tongs, vêtements trop décontractés ou trop voyants. En poste commercial, votre image doit pouvoir être présentable devant un client car l’entretien est le premier test.
2. Quels gestes ou attitudes peuvent « casser » une première impression en entretien ?
Une poignée de main trop molle ou au contraire trop familière (high five, tape dans le dos), le téléphone qui sonne, le chewing-gum, arriver en retard sans prévenir, couper la parole, s’affaler sur la chaise… Ce sont des détails, mais en commercial, on juge aussi la posture relationnelle. Votre façon de saluer, de regarder, d’écouter et de vous tenir en dit beaucoup sur la manière dont vous gérerez les clients.
3. Faut-il rester « en mode pro » même après la fin de l’entretien ?
Oui, clairement. Tant que vous êtes dans ou devant les locaux de l’entreprise, vous êtes encore observé, même si l’entretien est terminé. Se changer dans la rue, faire des blagues déplacées avec quelqu’un au téléphone, critiquer l’entreprise devant le bâtiment… tout cela peut être vu ou entendu. On reste pro jusqu’au bout (sortie des locaux, trajet immédiat, éventuels échanges de mail derrière.)
4. Comment éviter les malentendus sur le lieu ou le format de l’entretien ?
Relisez bien le mail de convocation, notez l’adresse exacte, l’étage, le nom de l’interlocuteur et le format (visio, téléphone, présentiel). Si vous avez un doute (locaux, chantier, siège social, boutique, etc.), appelez ou envoyez un mail pour confirmer. Un commercial doit savoir vérifier les infos pratiques : c’est aussi une démonstration de rigueur et d’organisation.
5. En quoi ces détails comptent-ils autant pour un poste de commercial ?
Parce que le cœur du métier de commercial, c’est la relation client (image, crédibilité, confiance). Un recruteur se demande toujours : « Est-ce que je peux l’envoyer chez un client demain matin ? ». La tenue, les salutations, la façon de gérer un quiproquo ou une gêne, le respect des codes professionnels… tout cela donne un aperçu de la manière dont vous représenterez la marque sur le terrain.